Last but not Least

Suite et fins des aventures au théâtre !

The 39 Steps, au Criterion Theater.

Présentation de la production : This blissfully funny show follows the incredible adventures of our handsome hero Richard Hannay, complete with stiff-upper-lip, British gung-ho and pencil moustache as he encounters dastardly murders, double-crossing secret agents, and, of course, devastatingly beautiful women.

This wonderfully inventive and gripping comedy thriller features four fearless actors, playing 139 roles in 100 minutes of fast-paced fun and thrilling action.

Encore un très bon choix que nous avons fait là, si vous voulez passer une bonne soirée à vous marrer tant que vous pouvez c'est la pièce idéale. Ils ne sont que 4 acteurs mais ils jouent 139 rôles !! mis à part le rôle principal, et la fille qui fait tous les rôles de filles, les 2 autres acteurs se chargent du reste et avec une énergie incroyable !! Rufus Wright nous fait un Richard Hannay un peu loseur, un brin charmeur et toujours prêt à sauver les innocents et les demoiselles en détresse *-*.

La mise en scène est géniale : avec 3 fois rien comme décors et des effets spéciaux à couper le souffle, ils arrivent à nous emporter sur le toit d'un train, dans une poursuite en voiture, à nous faire crasher un avion, à nous plonger dans l'Ecosse profonde et à faire pleuvoir des cadavres du balcon xD. Les nombreux clins d'oeil aux films d'Hitchcock sont très agréables, on a même le monstre du Loch Ness à un moment ^^.

- Stalkage à la stage door : aucun. On ne l'a pas trouvé déjà, et ensuite le soir on avait faim, envie de faire pipi et une pointe de fatigue (au choix).
- Taux d'explosion hormonale : 4/5 parce que Rufus avait quand même grave la classe ^^


Dreamboats and Petticoats, au Playhouse Theater.

Présentation de la production : In 1961 emotions run high as talented young musicians Norman and Bobby compete to win the hearts of their adoring female fans - and more importantly, the gorgeous Laura. But when Laura shows that she's no slouch with the guitar, rock 'n' roll fame beckons...

Le flyer dit que c'est un mélange de Grease et High School Musical, bon j'ai pas vu HSM (oui c'est vrai) mais je pense que ça colle bien : ce sont des ados qui participent à un concours d'écriture de chanson, le tout dans les années 60...

C'était gentil, mais sans plus. Les chansons étaient cool, mais il manquait un grain de folie que les autres musicals avaient. Il n'y avait pas non plus de mise en scène exceptionnelle, et un truc qui m'a surpris : il est dit que les acteurs chantent et jouent en live sur scène. Bon ils chantent OK mais ils jouent pas tous, l'héroïne faisait du piano en playback, depuis le balcony ça se voyait et bof bof... Même si c'est pas de sa faute à la fille xD

- Stalkage à la stage door : aucun. Personne n'est sorti...
- Taux d'explosion hormonale : 2,5/5 - le héros était un peu jeune mais on avait son pote choupi et le bad guy de l'histoire qui remontaient le niveau xD


Chicago, au Cambridge Theater.

Présentation de la production : Murder, greed, corruption, exploitation, violence, adultery, treachery... so begins the musical Chicago.

Chicago is the story of Roxie, a chorus girl who has murdered her lover but manages to get acquitted with the help of a sleazy lawyer. She teams up with another murderess to form an unusual nightclub act which they hope will keep them in the public eye.

Ce n'était pas sur notre programme au départ, mais ayant un créneau de libre nous sommes allées tenter les places pas chères des boutiques sur Leicester Square et on réussi a en avoir pour pas cher et plutôt bien placées !!

Il y avait pire pour finir notre semaine de folie qu'une musical où tous les mecs sont trop graou et quasiment tous très peu vêtus ou couvert de fringues moulantes xD c'est impossible de ne pas baver : on a tous les danseurs du cabaret et on a Billy Flynn, the avocat dégoulinant de sexitude, joué par Jonathan Wilkes *-*. Les deux actrices tenant les rôles titres se démerdent pas mal, enchaînant les numéros de danse et de chants avec classe et sensualité ^^.

- Stalkage à la stage door : Win ! On a vu Jonathan Wilkes, qui avait d'être bien fun dans la vrai vie xD, l'actrice qui fait Velma et l'acteur qui joue le mari de Roxie.
- Taux d'explosion hormonale : trop de gens trop bien de leur personne, et qui bougeaient trop bien leur body... It's hot in here xD

Couinage Couinage Couinage

Continuons nos aventures théâtresques...

Million Dollar Quartet, au Noel Coward Theater.

Présentation de la production : MILLION DOLLAR QUARTET tells the electrifying story of the night Elvis Presley, Johnny Cash, Carl Perkins and Jerry Lee Lewis came together to make music, and ended up making history. Inspired by the actual event, that took place on 4 December 1956 at Sun Records in Memphis, this ecstatic and engaging musical is a story of fame, friendship, discovery, professional jealousy and incredible music as four of the music industry's most extraordinary talents, all in their creative prime, made music together for the first and only time in their careers.

The legendary meeting was masterminded by Sun Records' founder Sam Phillips, who discovered all four of the musicians, and brought Elvis Presley (and his then girlfriend) back to the recording studio that launched him to stardom. Together with Sun Records' fast-rising new superstar Johnny Cash and Carl Perkins, who was still chasing his next big hit after writing and recording Blue Suede Shoes, the fourth member of this impromptu "quartet" was Phillips' latest signing, Jerry Lee Lewis.

Oh la la la ! Oh la la la ! Une pure merveille *-*, on était assises au 3ème rang, autant dire qu'on avait une vue extraordinaire sur les acteurs et leurs instruments... Je parle des GUITARES (bande de pervers xD). Cette pièce est un bijou musical, et c'est même pas grave si on connait pas vraiment par coeur toutes les chansons du Quartet, parce qu'on passe tout notre temps à danser sur notre siège... Pour finir debout à swinger comme une malade (enfin essayer de mover son body de manière digne xD).

Les acteurs sont tous parfait dans leur rôle, leur façon de chanter, de bouger, de jouer colle au plus près de leurs illustres personnages... Et puis alors que dire du final en costume à paillettes, genre la paillette ici c'est trop la classe *-*.

- Stalkage à la stage door : Epic Win ! On a eu Elvis, Jerry Lee Lewis et Carl Perkins... Johnny Cash pourquoi as-tu du partir si rapidement ? T-T
- Taux d'explosion hormonale : 12000/5 - ouais ouais les ptits chanteurs de rock à guitare c'est irrésistible...

Hiiiiiii c'est beau quand c'est signé partout *-*


Much Ado About Nothing, au Wyndhams Theater.

Présentation de la production : Two young lovers Claudio and Hero are to be married imminently but the devious scheming of a resentful Prince looks set to thwart the nuptials. Meanwhile, marriage seems inconceivable for reluctant lovers Beatrice and Benedick whose endless witty sparring threatens to keep them apart forever.

Directed by Josie Rourke, Artistic Director of the Bush Theatre, Much Ado About Nothing is one of Shakespeare’s great plays and reminds us all of the failings and triumphs of the human condition in our never ending search for perfect love.

AAAAaaaaaAAAaaaaAAAaaaa... aaah.

Oui, je crois que ça résume bien mon impression générale. MAIS COMME C'ETAIT TROP BIIIIIIEN *-*. Ya beaucoup de chose qui sont la vie : les uniformes, les épées, les voitures de golf, les Doc'Martin rouges, les bas résilles, les perruques blondes, les tshirt Superman, la peinture, la peinture sur le tshirt Superman, les costumes, les déguisements Starwars, l'accent écossais... etc.

Mon coeur a fait boom-boom pour David Tennant, je l'ai vu de mes yeux en vrai à 1m de moi, c'est... piouf ! Pando peut témoigner, j'avais des coeurs à la place des yeux toute la soirée et plus xD. Je kiffe aussi Catherine Tate *-* même si elle fait une Beatrice *catherine-tatienne* moi j'ai aimé ^^ . Et le méchant il était bien marrant, et le ptit n'enfant déguisé en Mario il était choupi ^^

- Stalkage à la stage door : Epic Win bis ! On l'a fait la veille après le Quartet, on eu nos programmes signés par les deux, mais pas de photos on était pas engluée à la barrière, seules les crustacés vivant sur le métal ont cette chance xD mais j'ai pu avoir de bonnes photos donc I'm so very happy :')
- Taux d'explosion hormonale : euh... est-il nécessaire de le préciser/5

Les deux bouts de programmes sur la photo ce sont ceux de Pando et moi *ouh yeah* ^^


Betrayal, au Comedy Theater.

Présentation de la production : “I’ve always rather liked Jerry. To be honest, I’ve always liked him rather more than I’ve liked you. Maybe I should have had an affair with him myself” Robert, Betrayal.

Sometimes you’ll find there can be three people in a marriage… Over a period of nine years, we are shown the high price of passion and the damage inflicted by desire. Harold Pinter’s remarkable play explores how our loves and our losses echo and accumulate through time.

Au départ on voulait voir cette pièce pour Nick Cutt... euh Douglas Henshall xD, et voyant le résumé on s'est dit qu'on irait la voir l'après-midi, comme ça parle de trahison et de rupture ça avait l'air un peu dépressif et on voulait passer la soirée sur une note joyeuse. Au final, c'était pas mal et beaucoup moins triste qu'on l'avait imaginé et c'est parfois même assez drôle. L'histoire est racontée à rebours en différent panneaux sur les scènes importantes de cette relation à 3.

Je l'ai déjà dis l'accent écossais c'est la vie hein : Douglas *coeur coeur coeur* joue l'amant (on comprend huhu) et meilleur ami du mari, qui nous fait une déclaration d'amour magnifique alors qu'il est saoul ^^. Ben Miles, le mari donc, est très bien lui aussi (sauf qu'il a pas les cheveux gris comme sur l'affiche xD), c'est de lui que viennent les vannes dans l'histoire. Kristin Scott Thomas porte la pièce et la tromperie sur ses épaules, son personnage ne fait pas toujours les meilleurs choix ce qui la rend plus attachante... Et on ne peut pas lui en vouloir d'avoir craqué sur Douglas xD.

- Stalkage à la stage door : encore un Epic Win ! Nous avons eu une photo avec Douglas et une petite signature de Kristin. Ben est parti comme une flèche avec son pote...
- Taux d'explosion hormonale : l'écossais est hors barème *-*

Kristin a écrit sur la signature de Douglas xD

Back From London !

Cela fait 10 jours maintenant que je suis revenue de Londres. Et comme vous vous en doutez c'était méga trop bien ! Avec Pando, nous avons vu 8 pièces et musicals, autant dire qu'on a fait quasiment que ça xD ... Mais pas que ! On est aussi allée faire la Doctor Who Experience et on a visité 3 musées + 1 bateau...

En quelques billets je vais tenter de vous donner un avis objectif sur les pièces vues (et ne pas juste couiner que c'est trop bien xD) (bon je garantis rien pour Much Ado...).

Butley, au Duchess Theater.

Présentation de la production : Ben Butley is having a monumentally bad start to the term. So bad, he’s making sure everyone else has a worse one. Over the course of a day he discovers that his estranged wife is divorcing him for the most boring man in London and, even worse, that his beloved protégé and best friend is leaving him too. Once a brilliant and charismatic professor, Butley suddenly finds his life and relationships self-combusting in a matter of hours.

Butley might be going down, but he sure as hell is going down fighting. Employing his trusty arsenal of mischievous irony and gleeful wit, Butley diverts attention from his unravelling life by entangling his students and colleagues in his own dangerous blend of trouble and fun.

Dominic West campe un Butley à la fois irritant et attachant, on plaint beaucoup ses amis et collègues qui en prennent plein la gueule. Puisque que Môssieur a une journée de merde, autant que les autres en passent une aussi, cependant un tel comportement n'est pas sans conséquence et il en paie les frais immédiatement. Il nous fait passer des rires aux presque-larmes en quelques mots, et nous donne envie de lui mettre un bon coup de pied au cul histoire de lui remettre les idées en place, puis un bon gros câlin "there there" pour le consoler.

Face à lui entre autre, Martin Hudson *choupiiiiiiiiiiiiiiiiii* joue Joey son collègue et colocataire, à deux doigts de craquer et de lui faire bouffer son bureau et Paul McGann, le copain de Joey, pratiquement terrifiant dans son costume serré... Mention spéciale pour la personne chargée de la décoration de la scène, je crois qu'on a couiné très fort en voyant la bibliothèque de Butley xD.

- Stalkage à stage door : choupi Martin *-* + Amanda Drew et Cai Brigden (l'étudiant hippie).
- Taux d'explosion hormonale : 3,5/5 - c'est le début alors on était assez Maître de nous même ^^

Doctor Faustus, au Shakespeare Globe.

Présentation de la production : Doctor Faustus, restless for knowledge, forsakes scholarship for magic and makes a pact with the Devil: if the tortured spirit Mephistopheles will serve him for 24 years, Faustus will yield his soul to the Devil after death. Transformed into an arena of wild spectacle and dark illusion, the Globe becomes the scene for an epic battle between Lucifer and the angels for one man’s soul. Larger than life puppets, huge flying dragons and horned stilt walkers bring Marlowe’s fantastical world to life.

Mephistopheles will be played by Arthur Darvill, best known for the role of Rory in Doctor Who. Doctor Faustus is played by Paul Hilton, who was last seen at the Globe in 1998 as Orlando in As You Like It and whose other credits include Rosmersholm (Almeida Theatre), The Daughter-in-Law (Young Vic) and Silk (BBC). Doctor Faustus is considered the greatest tragedy in English before Shakespeare. Marlowe places some of the greatest poetry ever written for the stage and a good deal of anarchic comedy at the service of this mythic tale illustrating mankind’s insatiable desire for knowledge and power.

Il faudra surement que je relise la pièce, pour bien comprendre les implications et les motivations de Faust à vendre son âme au Diable, ainsi que tout le passage avec le Pape xD. Tout ça mis à part c'était *trop bien* on était placée dans les box "gentlemen", on avait donc une vue sur toute la scène, sauf sur le bureau de Faust qui était derrière le poteau xD ... Mais comme les acteurs se déplaçaient partout, on les a eu en face de nous assez souvent donc *yeah*.

Nan pis franchement, voir une pièce au Globe en soi déjà c'est trop génial *-* . Paul Hilton et Arthur Darvill habitent leur personnage, le lien qui se crée entre Faust et Mephistopheles se transforme limite en bromance à un moment uhuh. Tout est parfait des costumes aux chorégraphies, les effets pyrotechniques j'ai adoré *-* (sérieux Arthur balance du feu de ses mains, si c'est pas trop la classe ça !).

- Stalkage à stage door : aucun ! Ils sont pas sortis ces salaud xD.
- Taux d'explosion hormonale : 5/5 - Arthur mit pilositude et mandoline, on ne résiste pas... et puis Paul Hilton il fait pas mal aux yeux non plus ^^

j'ai quand même pu prendre une photo pendant la pièce...

Aaaaaaaaaawwwwwwwwww *-*