16/02/2011
Nerd Do Well
Simon Pegg, 2010.
Zombies in North London, death cults in the West Country, the engineering deck of the Enterprise: actor, comedian, writer and self-proclaimed supergeek Simon Pegg has been ploughing some bizarre furrows in recent times. Having blasted on to the small screen in the gut-busting and now legendary sitcom Spaced, his enduring appeal and rise to nation’s-favourite-son status has been mercurial, meteoric, megatronic, but mostly just plain great.
From his childhood (and subsequently adult) obsession with science fiction, his enduring friendship with Nick Frost, and his forays into stand-up comedy which began with his regular Monday morning slot in front of his twelve-year-old classmates, Simon has always had a severe and dangerous case of the funnies.
So, sit back, relax, and let Simon Pegg and his faithful robotic butler Canterbury take you on a spectacular journey of self-discovery. (Or, take this book to school and swap it for something cooler…)
Dotted with a cast of memorable characters who have helped shape the life and career of a complex, dynamic and unstoppable man, Nerd Do Well is the joyous tale of a home-grown superstar and a local boy made good.
C'est horrible je ne sais pas par où commencer, peut-être dire que j'ai A-DO-RE. Simon raconte avec passion et beaucoup d'humour, les instants décisifs de sa vie qui ont fait de lui l'artiste qu'il est aujourd'hui. Reposant sur le concept d'une Electro-Static Time Ball - ESTB - (il a le copyright dessus, il l'a inventé dans le futur) (c'est un peur comme un TARDIS), il revisite la théorie du chaos : en gros il a vu des films, rencontrer des gens, écouter de la musique, regarder des émissions TV etc. qui vont avoir une incidence sur sa carrière à divers niveaux. Plusieurs fois il interrompt son récit en disant que grâce à son ESTB il pourrait aller se rendre visite, par exemple : quand il était gamin, le jour où il a vu Star Wars et se dire que 30 ans plus tard il discuterait "trucs de réalisateur" avec Georges Lucas...
Dans l'avant-propos Simon dit clairement qu'il ne veut pas parler de sa "vie perso", en interview il dévit toujours en parlant de chien Minnie donc il ne faut pas s'étonner si ça produit dans le livre. Ca arrive au début, Minnie fait des apparitions, mais après Simon oubli un petit peu ^^ et nous parle quand même de lui, de tout ce qui a forgé sa personnalité, et par conséquent des choix qui en ont découlés. Il dit ne pas vouloir être trop "émotionnel" mais il y en a tout de même, que soit quand il apprend qu'un de ses camarades de classe est mort ou tout simplement quand il parle de sa femme et sa fille (les passages sont rares et il a l'air d'être un vrai papa-poule xD) ou de Nick Frost :).
De toute façon la fin de l'avant-propos et le début du premier chapitre mettent dans l'ambiance : il dit que ce livre sera tout sauf le récit de sa première expérience sexuelle, et bam page d'après "ma première expérience sexuelle était..." xD. Il se contredit beaucoup dans ce qu'il pense faire de son livre et ce qu'il en fait au final, il s'en rend compte et se commente lui-même. Il faut bien trouver un moyen original de raconter sa life, il nous met du suspense parfois... Qui aurait cru que son récit sur son job de maître nageur pouvait être hyper passionant à lire ?
Alors évidement, il parle beaucoup de Star Wars et de comment la saga (la première hein) a changé sa vie à bien des niveaux. De Shaun of the Dead, qui lui a permi de trouver des fans en la personne de Georges Romero et Quentin Tarantino (rien que ça), d'Edgar Wright parce que ça ne pouvait être que lui pour réaliser Spaced... Et d'encore tout plein de gens qui sont devenus ses potes : Gillian Anderson, Coldplay, Peter Jackson (c'est lui le papa Noël qui lui trou la main dans Hot Fuzz), Kevin Smith et j'en passe ^^.
Il y a aussi des rencontres qui l'ont laissé speechless (le rapport des uns et des autres est totalement fortuit uhuh) : Carrie Fisher au Comic Con (ce passage est cro meugnon), Georges Lucas et Harrison Ford (devant qui il a vraiment pas su quoi dire, popo Simon moi aussi j'aurais été pareille).
Dans la forme le livre plaira car :
1- il y a des notes en bas de page, des vraies, pas que pour nous dire quoi c'est des choses bizarres, Simon fait des paragraphes entier *miam*.
2- l'appendice est une mini fanfiction inspirée de quelque chose et c'est absolument énorme xD.
3- parsemé entre les chapitres se trouve le récit d'autre chose (je spoile pas je vous informe juste) qui est aussi absolument génial, mais Simon est parfait alors bon ça ne pouvait pas être mauvais xD.
4- il y a des photos de bébé Simon, enfant Simon, ado rebel Simon, zombie Simon, Simon et Minnie, Simon et //insérer quelqu'un de connu que vous adorez// etc.
5- la couverture intérieure est peuplée de dessins de Simon : Yoda, dinosaure, zombie etc.
Conclusion : il faut lire ce livre parce que c'est trop la baaaaaaaaaaaalle xD et je vous laisse sur ces quelques mots mit choupi photo *-*...
"Chaos theory dictates that small events can have massive ramifications ; the old flap of a butterfly wing leads to a storm in China, or as I prefer to see it : a gunner on an Imperial Star Destroyer decides not to shoot a tiny escape pod and consequently an entire regime remains imprevious to the efforts of a rebellion, lacking the information necessary to bring down its ultimate weapon."
21:13 Publié dans Silence in the Library | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : simon pegg, nerd do well | Facebook