02/09/2009
The World is going Mad Today
Quoi, enfin "qui" de mieux pour inaugurer ce nouveau design que John... et la Bible !
Achetée en août à Glasgow - la ville natale de Dieu, c'est pas pour rien - et lu en 2 semaines environ. Bon chiffre en soi qui est un record de rapidité pour moi, d'habitude je compte en mois (mais c'est pas ma faute si je lis lentement involontairement) parce que en plus, j'ai essayé de pas me jeter sur les chapitres comme une affamée. La Bible ça se savoure... Je me suis limitée à 2 chapitres par jour au max, de façon à me dire que le lendemain il m'en reste encore à lire etc jusqu'à la fin *émotions*.
Alors qu'est-ce qui ressort de cette biographie - genre dont j'ai pas vraiment lu beaucoup de bouquins d'ailleurs - ? Je crois que ça doit être un des rares livres à m'avoir provoqué des fou-rires, mais littéralement : je pouffais. Et plusieurs fois. C'est hallucinant, John est jeune, et il a une vie de ouf. Si on l'adaptait au cinéma, ça ferait une trilogie en 5 volumes XD.
Depuis sa naissance jusqu'à maintenant, il a vécu un nombres farmineux de choses bizarres, de coïncidences, de rencontres fabuleuses, et une carrière extraordinaire. Bon dans ce livre il n'y a pas que des anecdotes marrantes, il y aussi des chapitres assez tristes, voir tragiques, quan dil parlent du décès de sa grand-mère et de celui de sa colloctaire pendant ses années à l'université. D'ailleurs cette dernière a droit à un chapitre entier, et là parcontre ça arrache les larmes des yeux, même en y repensant maintenant, c'est difficile de pas rester insensible à ce drame... Mais j'ai pas envie de déprimer tout le monde, surtout que la plupart qui lisent ces lignes l'ont lu ou vont le lire, vous savez/saurez ce qu'il en est.
Non, ce livre est en majeure partie fun, alors je vais rester dans ce registre ! Parmi les passages préférés, je retiens : la première rencontre de Wee-John à son frère et sa soeur, les Barrowman's parties, à peu près toute la Barrowman's Family ^^, John et ses phobies, les rites et superstitions du monde du théâtre, John dans les avions, les aventures de John et ses neveux, les rencontres improbables de John avec plein de monde, John et Scott qui regarde des docus historiques ^^...
Je terminerais ce billet, avec THE extrait qui m'a tué (plus que celui sur Starwars que Pando avait cité). Context : John, ses neveux Clare (10 ans) et Turner (7 ans), et Scott sont en vacances au USA au Sequoia Natinal Park en Californie. Ils se sont baladés dans le park et sont sur le chemin du retour. Il faut savoir qu'il y a encore des ours dans certains coin de ce park...
We were heading back toward our van when I saw a shadow off to my right.
"Dont' move", I whispered urgently, grabing Turner's arm. "I saw a bear".
Clare looked up at me, terrified. "Where ?"
"Near the tree, directly behind Scott."
"What should we do ?" said Turner, edging behind me.
"Is it in its bluff stanc ?" asked Scott.
Now, let me pause here to point you out one of the differences between Scott and me. I see a bear and want to run like hell. Scott see a bear and wants to know if it's in its "bluff stance".
" What does that mean ?" Clare asked.
"It means it may not attack us" Scott replied.
"Whor are you ?" I yelled. "Doctor fucking Doolittle ?"
"He's moving" said Scott, suddenly grabing Clare's arm and shoving her back on the trail.
"Run !" (for your life *XD*)
Clare and Turner shot down the trail toward the van so fast they letf cartoon speed lines in the air. Scott and I sprinted behind them. When we passed the Germans in their tents, I screamed maniacally, in my biggest West End voice, "Bear !"
They scrambled from their tents as if the bear was inside the space with them, adandoned their camp and ran off, flapping wildly, into the trees. Clare got to the van first, threw the door open, and she and Turner hurled themselves inside. Second later, Scott and I reached the van and climbed breathlessly on the front seats.
Clare looked at the red button blinking on the video camera. After a beat, she said, "There was no bear, was there, Uncle John ?"
No bear, only a couple of loony uncles.
21:04 Publié dans Silence in the Library | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : john barrowman, anything goes | Facebook